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Mon projet personnel

1.   Bref historique du projet personnel dans le cadre de la formation internationale    

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Après avoir terminé mes études d’institutrice primaire, j’ai ressenti le besoin de continuer ma formation.

J’avais envie d’en apprendre plus sur les besoins spécifiques auxquels pourraient être confrontés les enfants que j’allais rencontrer.

J’ai donc choisi de suivre la spécialisation en orthopédagogie. 

Une fois cette formation terminée, et ne sachant pas encore exactement dans quel milieu je souhaitais travailler, je me suis inscrite pour cette formation internationale en pédagogique comparée. 

En commençant cette année, mon objectif était surtout de découvrir les pédagogies alternatives, dans le but de pouvoir enrichir mon enseignement.

J’avais envie de découvrir, concrètement, des outils que je pourrais utiliser pour rendre mes élèves plus acteurs et pour rendre mes séances d’apprentissage plus engageantes. 

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2.   Finalités du projet : sens du projet dans le parcours de la formation   

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Ce projet prend tout son sens lorsque je repense à mon parcours. 

En effet, en terminant mon bachelier d’institutrice primaire, j’étais marquée par les enfants dits « en difficultés d’apprentissage » que j’avais parfois vus lors de mes stages oubliés au fond de la classe. Cela me donnait l’impression que l’enseignement général ne me convenait pas vraiment. 

Lors de ma spécialisation en orthopédagogie, j’ai découvert plusieurs milieux spécialisés et j’ai également enrichi mes connaissances sur les différents troubles d’apprentissage.

Je me sentais plus outillée, et surtout, j’avais retrouvé l’envie de me diriger vers l’enseignement ordinaire car j’avais la conviction qu’il était possible de « mettre de l’extra dans l’ordinaire » et qu’il ne fallait pas spécialement travailler dans une école privée ou spécialisée pour pouvoir mettre en place un apprentissage qui soit motivant et adapté aux élèves. 

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3.   Objectifs du projet dans sa globalité   

 

J’ai choisi de travailler cette année autours des pédagogies alternatives car je trouve qu’elles sont extrêmement intéressantes et qu’elles représentent une source d’idées très pertinentes qui pourraient être intégrées à un programme « classique ». 

En débutant cette année, j’avais donc le projet de réaliser une « boite à idées ».

Celle-ci rassemblerait une liste d’éléments, d’aménagements, qui pourraient me servir lorsque je travaillerai en tant qu’enseignante. 

Mon objectif pour cette année est donc de créer une base de données avec des idées d’aménagements, d’outils, de rituels (etc.) qu’un(e) enseignant(e) pourra utiliser s’il/elle souhaite rendre ses élèves plus acteurs, ses leçons plus engageantes, etc.

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4.   Identification des partenaires en Belgique et à l’étranger 

Cette formation m’aura permis de rencontrer plusieurs partenaires. 

Voici les personnes rencontrées en Belgique : 

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  • Thierry Pardo (conférence sur la liberté éducative) : chercheur à Montréal 

  • Isabelle Mertens : maman d’un petit garçon de 3 ans qu’elle a décidé de ne pas inscrire à l’école 

  • Javier Arnedo Jiménez, directeur de l’école Européenne 

  • Nicolas Maron, directeur de l’école Ouverte de Ohain (Decroly) 

  • Équipe pédagogique de l’école du changement (École secondaire plurielle Maritime de Molenbeek et Lycée intégral RogerLallemand à Saint Gilles) lors de la projection du film 

  • Shana Baydoun, enseignante en classe flexible à l’école Claire Joie d’Etterbeek 

  • Emilie Debauve, animatrice d’ateliers pédagogiques au Rouge Cloitre 

  • Tania Van Cutsem, enseignante à l’école La Source à Evere (projet Européen avec Geneviève) 

  • L’équipe de la Ferme de la Hulotte 

  • Marie Christine Saussus, directrice de l’école alternative privée « Vive la vie » 

 

Voici les intervenants rencontrés en France, à l’école Le Blé en herbe : 

 

  • Nolwenn Guillou, directrice de l’école publique de Trébédan 

  • Valérie, enseignante de la grande section, des CP et des CE1 

  • Manuella, enseignante des CE2, CM1 et CM2

 

Voici les collègues avec qui j’ai réalisé mon stage en Guadeloupe : 

 

  • Valérie Laban, directrice de l’école ABC, Saint-Félix 

  • Sabrina Rabel, secrétaire 

  • Débora Armand, enseignante  

  • Tiphaine Maray, enseignante 

 

Voici une partie des intervenants rencontrés lors du séjour en Autriche : 

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  • Marlene Grabner

  • Susanne Linhofer 

 

Voici les différents professeurs et intervenants rencontrés lors de cette année : 

 

  • Geneviève Laloy 

  • Sébastien Bar 

  • Elise Levêque 

  • Annie Meysman 

  • Rudi Wattiez 

 

Voici les contacts que j’aurais dû rencontrer au Québec 

 

  • Geneviève Poitras, École Sainte Gertrude 

  • Marc Alexandre Prud’homme, École Mont-Libre (école démocratique)

  • Philippe Savard, École du Vitrail (primaire et secondaire à pédagogie alternative) 

  • Marc Antoine Mauzerolle, École Rose-des-Vents (primaire à pédagogie alternative) 

  • Audrey Tourigny, École Montessori 

  • Isabelle Corpataux, École Saint Bernard 

  • Caroline Thibaut, École des Bons-Vents 

  • Michelle Hegge, Chelsea Forest School 

  • Angélique Martin, Ecole Gabrielle Roy (pré-maternelles à Vancouver) 

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5.   Calendrier de lannée 

 

Horaire du module préparatoire : 

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Calendrier des activités réalisées dans le cadre du projet personnel : 

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